Effectivement, on a énormément resserrer (à la base, on leur avait proposé un 5X26, comme un feuilleton, et on avait de quoi le faire! ça aurait ressembler aux feuilletons docu qu'Arte passe parfois vers les 19h, et donc, les personnages auraient été beaucoup plus dévelloppés). Quand on s'est rendu compte qu'on aurait 50 minutes, et pas plus, on a dû aller à l'essentiel, essayer de faire comprendre 10 secondes ce qu'on avait monté en 1 minute, alors, ça va vite, peut-être un peu trop, et il y a eu quelques coupes crève-coeur (notemment une tempête sur le bateau, une vieille raciste à qui l'équipe avait loué la baraque, et la séquence complète de Doug, l'assistant qui se barre-qui fut dans l'équipe technique des nouveaux Star Wars, et qui le ressort à qui veut l'entendre).
Pour Julien Courbey, c'était sa grande scène d'émotions, et autour des techniciens déconnaient. Avec une seule caméra, c'était assez difficile de tout saisir.
Bensalah arrive à la fin du tournage au Maroc, et n'a pas obtenu ce qu'il voulait (comme tu l'imagine, la post prod a été longue et couteuse, vu qu'il produit aussi...), donc il fait la gueule (mais pour avoir vu l'ensemble des images, je crois aussi que c'est sa technique de réal de faire la gueule)
Le mec il crit Javel parce qu'il vend de l'eau de Javel. Cette séquence est trop courte à mon goût, on a du la resserrer tellement qu'elle paraît bidonnée, alors que ce n'est pas le cas. Les gars se sont réellement tapé le chien, la prière, le vendeur de Javel et la chèvre en une après midi..