Topic du "j'ai vu, j'ai aimé, je te le conseille !&quot

milbart a écrit:

J'ai revu le film préféré du critique Julien L.: The Game, de David Fincher. Bon, bon. Ah ah ah ! Pardon. Vous prenez "le réalisateur de Seven", gros outil vendeur de ce thriller (au fond, tout le monde semble se contrefoutre qu'il y ait Michael Douglas ou que ce soit un thriller: c'est un film "par le réalisateur de Seven" !), une bonne histoire apte à se barrer en twist(s) écrite par ce duo de génies que sont Ferris et Brancato (Aeon Flux ! Terminator 3 ! Catwoman, les mecs ! La classe !) * et une mise en scène solide, et c'est parti pour la fête.
Un film parano aux trente-cinq retournements de situations (dans une fin alternative, Douglas apprend que l'assassinat de Kennedy c'était du chiqué, et en fait il est mort depuis le début, mais tout cela n'est qu'un jeu...que fait Keyser Soze ?), en somme c'est l'histoire des relations entre frères, des relations familiales, par le biais d'un perso principal (comme souvent chez Fincher, j'ai envie de dire) particulièrement antipathique, et tout cela sans aucune modération dans l'excès (du genre "ouais, deux bombes atomiques ont pulvérisé la Floride, mais c'était juste des effets digitaux" "Et les fusillades?" "De simples acteurs et de bons FX, mec").

En fait, je pense pas qu'un mec censé pourrait mater ce film sérieusement.

Et je pense que Fincher l'a envisagé comme une comédie, de la même sorte que Fight Club est une comédie noire.


* même si je crois que Andrew Kevin Walker a été script-doctor...

Histoire de rire, quand j'ai vu Seven pour la première fois, c'était au grand rex je m'en souviens, je m'était fait ch... comme un rat mort. D'ailleurs pour passer le temps je m'étais amusé à compter les petites étoiles du plafond... Alors que the Game m'avait scotché à mon fauteuil... comme quoi...

Idem.
Le problème de Seven, c'est que la fin est écrite depuis la première demi-heure.

Swiss', tu es un extraterrestre !

...

Sinon:

Que reste-t-il de nos amours/ Que reste-t-il de ces beaux jours/ Une photo, vieille photo/ De ma jeunesse/ Que reste-t-il des billets doux/ Des mois d' avril, des rendez-vous/ Un souvenir qui me poursuit/ Sans cesse/ Bonheur fané, cheveux au vent/ Baisers volés, rêves mouvants…

J'ai donc vu Baisers Volés, rafraichissant et léger petit film de Truffaut, subtil, élégant, rigolo, plein de légèreté, avec parfois de jolies idées de mise en scène, un Antoine Doinel attachant et des dialogues malins...ca se suit vraiment sans déplaisir !

Parfois, je trouve le cinéma de Truffaut empesé et chiant au possible. Parfois, non.
Que ce soit Adèle H ou La sirène du Mississippi, deux genres très différents, il y a un ton si personnel dans l'écriture et la mise en scène qu'il me faut un temps pour m'habituer et apprécier le travail, éventuellement.
Toutefois, j'adore Le dernier métro peut-être le plus accessible.

Euh...Les 400 Coups, quand même !

Moui, sans plus...
Je n'ai jamais eu le goût à déifier Truffaut que je trouve, comme beaucoup, très surestimé.
Je trouve souvent son cinéma très égocentrique et petit bourgeois. Beaucoup trop inoffensif à mon goût.

Marrant que ta préférence aille vers Le Dernier métro. C'est le film qui se rapproche le plus du style qu'il conchiait dans les années 50. Époque où il a lancé l'expression "politique des auteurs" qui nous a bien pourri le cinéma... et qui continue encore. Les adjectifs "petit bourgeois", "égocentrique", "inoffensif" peuvent bien se rapporter à tous ces successeurs, et à tous ceux de la Nouvelle Vague d'ailleurs. A tous ces "auteurs".

grolandais a écrit:

Marrant que ta préférence aille vers Le Dernier métro. C'est le film qui se rapproche le plus du style qu'il conchiait dans les années 50. Époque où il a lancé l'expression "politique des auteurs" qui nous a bien pourri le cinéma... et qui continue encore. Les adjectifs "petit bourgeois", "égocentrique", "inoffensif" peuvent bien se rapporter à tous ces successeurs, et à tous ceux de la Nouvelle Vague d'ailleurs. A tous ces "auteurs".

C'est le contexte qui me plait dans "Le dernier métro", et le thème du lieu culturel qui résiste.

Je n'en parlais pas forcément en terme de qualité mais en terme de popularité, d'accessibilité.
Pour ceux que ca intéresse, Arte diffuse quelques Truffaut ces derniers temps.

popescu a écrit:

Ai bien aimé le Tinker, Tailor... Pas un choc, pas une révélation, mais un solide petit film, adapté et réalisé avec intelligence. La froideur et le manque d'affect sont retranscrit avec doigté (même si ça parait un peu "forcé" dans les premières minutes), et c'était bien là le défi principal du film, réussir à embarquer le spectateur tout en le maintenant à bonne distance. Un bon travail aussi sur la manière de révéler au compte goutte les informations en s'attachant à ne pas être trop obscur, ni trop démonstratif (toujours sur le fil, pas toujours réussi, mais on sent bien qu'il y a eu volonté de ne pas nous prendre pour des truffes). Et surtout un casting magnifique jusque dans les 3e rôles. Manque pourtant un petit attachement aux personnages pour être totalement emballant, mais encore une fois: adaptation...

J'ai donc vu "La taupe" et je suis encore plus emballé que popescu... Même si je souscris à tout ce qu'il a dit (le travail narratif est effectivement magnifique, arrivant à révéler des infos "classiques" de manière toujours innovante et décalée, posant le doute au coeur même de la mise en scène etc.), je n'ai pas trouvé que le film manquait d'émotion. Au contraire, le hiératisme des acteurs, la froideur de l'ensemble fait qu'on s'attache aux moindres signes d'humanité des personnages qui transparaissent soudain. De ce point de vue, le jeu de Gary Oldman est extraordinaire, et la réalisation d'Alfredson le seconde de très belle manière, révélant ou cachant son regard avec l'éclairage, jouant sur sa silhouette ou au contraire révélant son visage plein cadre... Cette intelligence de mise-en-scène trouve son point d'orgue avec un épilogue bouleversant où chaque regard, chaque sourire, prend une nouvelle dimension.
Bref, allez-y !

Bruttenholm a écrit:

popescu a écrit:

Ai bien aimé le Tinker, Tailor... Pas un choc, pas une révélation, mais un solide petit film, adapté et réalisé avec intelligence. La froideur et le manque d'affect sont retranscrit avec doigté (même si ça parait un peu "forcé" dans les premières minutes), et c'était bien là le défi principal du film, réussir à embarquer le spectateur tout en le maintenant à bonne distance. Un bon travail aussi sur la manière de révéler au compte goutte les informations en s'attachant à ne pas être trop obscur, ni trop démonstratif (toujours sur le fil, pas toujours réussi, mais on sent bien qu'il y a eu volonté de ne pas nous prendre pour des truffes). Et surtout un casting magnifique jusque dans les 3e rôles. Manque pourtant un petit attachement aux personnages pour être totalement emballant, mais encore une fois: adaptation...

J'ai donc vu "La taupe" et je suis encore plus emballé que popescu... Même si je souscris à tout ce qu'il a dit (le travail narratif est effectivement magnifique, arrivant à révéler des infos "classiques" de manière toujours innovante et décalée, posant le doute au coeur même de la mise en scène etc.), je n'ai pas trouvé que le film manquait d'émotion. Au contraire, le hiératisme des acteurs, la froideur de l'ensemble fait qu'on s'attache aux moindres signes d'humanité des personnages qui transparaissent soudain. De ce point de vue, le jeu de Gary Oldman est extraordinaire, et la réalisation d'Alfredson le seconde de très belle manière, révélant ou cachant son regard avec l'éclairage, jouant sur sa silhouette ou au contraire révélant son visage plein cadre... Cette intelligence de mise-en-scène trouve son point d'orgue avec un épilogue bouleversant où chaque regard, chaque sourire, prend une nouvelle dimension.
Bref, allez-y !

P'tain, doublé par la Brut' ! Plus rien à ajouter tellement cette critique traduit bien ma psyché.

Seul le bavardage incessant et insupportable de deux vieilles chouettes dans la salle m'empêchait de rentrer totalement dans le film. Je hais les vieux ! A part ça, je pense avoir vu un grand film hybride, labyrinthique mais passionnant, très froid et subtilement poétique.

grolandais a écrit:

Seul le bavardage incessant et insupportable de deux vieilles chouettes dans la salle

Tu es tombé sur la grand-mère d'Aaron Sorkin ?

J'ai vu le mythique Jules et Jim et c'est pas mal. Moreau y est très bien. Les autres interprétations sont un peu hésitantes, peut être la faute aux dialogues de Truffaut, qui sont certes parfois très beaux, mais peu naturels, peu aptes à être prononcés sur le ton de la discute (mais Moreau, dans cet exercice, s'en tire très bien), et puis, il y a de bonnes idées de mise en scène, même si l'émotion n'arrive pas à poindre, ce qui est peut être l'effet-toc d'un film trop littéral à mon sens...en fait, le documentaire sur Truffaut qui a suivit est limite plus intéressant. Je crois préférer l'homme à ses films, même s'il m'en reste plein à voir (le plus beau que j'ai pu voir, c'est, indiscutablement, La Sirène du Mississippi, Belmondo y est certainement pour quelque chose)

D'ailleurs, en parlant de Belmondo, revoir des images de La Sirène m'a donné envie de re-mater Pierrot Le Fou.

Je me lance sur le Fincher ? Bon bah je l'ai vu.

La bonne nouvelle, c'est un film de Fincher, la mauvaise nouvelle pour d'autres, c'est un film de Fincher.
En attendant..(là, je digère)

Bien sûr, vous avez tous raison, ce n'est pas un chef d'oeuvre.

Bien sûr.

Mais moi, ce que je retiens, ce n'est pas le rapport qualitatif avec ses oeuvres mastodontes précédentes , mais le constat que le film laisse sur la carrière de ce petit roublard de cinéaste, et quel doux constat: il n'y a que Fincher pour faire un tel film. Il est clair et net qu'il bousille toute possibilité d'autre adaptation. Mais plus que tout: j'adore la manière dont Fincher peut, avec aisance, faire un pied de nez à toute une court d'oies critiques y allant de leurs "film adulte" et autres descriptifs pubards, alors que The Game était déjà un film adulte en soit !

Le mec te fait The Social Network, ou encore l'énorme Zodiac, et là il te commence son film avec un clip hard-rock super-sensitif, le genre de délires qui fait vibrer n'importe quel djeunz. Bordel, il te fait une scène de torture avec du Enya en fond sonore, il te case de l'humour potache là où il ne faut pas, limite pour décrédibiliser toute tension. Le mec, au-delà d'un talent formel constant, et ce depuis des années, n'a eut de cesse que d'égarer ceux qui voulaient lui coller une étiquette.


Et que le film soit bon ou mauvais (en l’occurrence, là, il est plutôt bon hein), comme De Palma reste De Palma, Fincher reste...Fincher. Un auteur. A nul autre pareil, ce qui n'inclue pas la maladresse, comprenez.

Le seul à pouvoir te faire un tel film dans le paysage américain, en sachant que des gens iront le voir, comme The Game, parce que "c'est un film de David Fincher". Moi, voici ce que j'en dis. Après Mara, ce que je dirais de cette bombe ne pourrait être relativement objectif, je suis quand même pressé que des caps HD soient diffusées sur internet, là je suis encore tout troublé par cette chair érotisante et j'attends de retrouver la sensation corporelle qui y est liée sans être dérangé par les gens autour (fallait bien que je me foute la honte, d't'facon personne ne va lire ce com")

Au cas où je n'ai pas été assez clair, Fincher en a une grosse et le pire, c'est qu'il semble le savoir.

Ah ben c'est sûr que c'est le grand retour du Fincher chouchou des ados attardés, après Fight Club. Et de même qu'avec Fight Club, Fincher sape le sens de son film en faisant de l'épate (devant Fight Club, les ados trouvaient que c'était cool de tout péter, là ils ont envie de se palucher sur rooney mara, ce qui est peut-être compréhensible mais pas vraiment compatible avec le sens profond du film).
Et je ne suis pas d'accord quand tu dis

milbart a écrit:

Le mec, au-delà d'un talent formel constant, et ce depuis des années, n'a eut de cesse que d'égarer ceux qui voulaient lui coller une étiquette.

Alors que son Millénium reprend selon moi toutes les étiquettes stylistiques les plus évidentes de son cinoche : froideur (au propre comme au figuré), personnage en marge de la société, serial-killer, fascination technologique (c'est bien, ça permet à Libé de le mettre dans la case "cinéaste geek"). Bref le degré zéro de la déstabilisation et de la prise de risque... Comme je l'avais déjà dit, Benjamin Button était bien plus audacieux, de ce côté là.

Enfin, ce qu'il faut retenir avant tout, c'est que le scénar est bien neuneu.

C'est vrai qu'au bout du bout du compte, ce Millenium est une accumulation de poncifs. Presque gênant quand on connait le virage pris par Fincher depuis seulement deux films (Zodiac et The Social Network)...

Mais ce "virage", n'existe pas. C'est dire d'un cinéaste qu'il a toujours été attardé mental et maintenant, qu'il voit la lumière, Dieu bénisse Dieu et ainsi de suite. Seven était un film adulte comme l'est Zodiac, The Game aussi, par son obsession du traumatisme, l'était, quand Fincher s'en est emparé pour mieux transcender le vide et en faire du consistant (au delà du matériel pourri du base, et j'ai envie de dire, c'est pareil pour Millénium, le scénario c'est Frontière(s), les mecs). L'avenir me le dira, mais selon moi:

1/ Fincher est un auteur foncièrement roublard et délicieusement frimeur.
2/ Je jubile à l'idée de voir la mine de ceux qui jugent, quinze après, son cinéma adulte, quand bien même Millénium ne peut être vu comme adulte.
3/ Personne ne filme mieux les écrans d'ordinateur que Fincher.

Ce film ne m'a pas fasciné, mais selon moi ce n'est pas un pas en arrière, c'est la petite vague avant le tsunami. Wait and see.

Benjamin Button, pour encore faire plaisir à Popes', c'était quand même bien chiant. Je préfère largement le Fincher "ado attardé" qui montre sa teub...(quelle belle définition, après tout, Fincher, ce n'est qu'un ado attardé, et rien d'autre, pas vrai ? Comme ça, tout est tellement simple) (non mais on va croire que je suis un fan hardcore du mec, alors que pas du tout !)

Pas tout compris là dedans ("il sait mieux filmer les ordinateurs..." ??? il évite les balayages sur les écrans ?)
Bon au moins, tu reconnais implicitement que Fight Club est un cinéma pour ado attardé et que Fincher rime avec frimeur. Même s'il avait fait preuve de plus de retenue et d'élégance dans ses derniers films et où la forme collait mieux avec le fond. Bon après, Millenium n'est pas désagréable non plus. Personnellement, je n'ai pas trouvé le temps trop long (un peu vers la fin qui dure une bonne demi-heure tout de même). Mais il manque vraiment d'intérêt sachant que la version suédoise dispose d'une caméra moins virtuose mais d'une mise en scène plus glaçante.

Ce qu'il faudrait retenir, c'est plutôt la supériorité intellectuelle du metteur en scène face à l'histoire de base digne d'un film de genre français. Sa supériorité d'explorateur d'images, en un mot comme en cent, parfois c'est froid, comme électronique, mais c'est de la mise en scène. Ca verse parfois vers le fantastique et je me dis que Fincher pourrait faire son Shining. Et le personnage de Mara n'est pas qu'une battante-punk, selon moi, c'est un des personnages les plus attachants qu'on ait jamais vu chez Fincher (facile pour un mec qui se prend d'affection pour les figures antipathiques, ceci dit).
D'ailleurs, pour spoiler, c'est elle qui fait tout, c'est elle "l'homme" mais en même temps, elle est diablement sensuel et sexuel.

Commencerais-je à fantasmer sur les tétons percés ? Cela m'effraie, par pitié, aidez-moi !

grolandais a écrit:

Pas tout compris là dedans ("il sait mieux filmer les ordinateurs..." ??? il évite les balayages sur les écrans ?)

C'est plus une blague, mais oui, beaucoup sont justement "attardés" quand il s'agit de bien filmer l'informatique et les écrans, lui, Fincher, y arrive. Point de vue captation de l'image c'est le fils de De Palma.

Sinon, pour les versions suédoises, je t'avoue que je ne suis pas fan des téléfilms.

Fincher considère "le film d'une génération", Fight Club, comme une simple comédie noire. Donc j'avoue que tout cela me fait relativiser. Mais au-delà de cela, j'avoue que Fincher m'intéresse beaucoup, et pas que pour ses vannes du style "ah ah ah tu m'as violé, maintenant je te ressors tes répliques parce que ca va faire marrer le public alors que la séquence qui suit est super-glauque"

milbart a écrit:

(non mais on va croire que je suis un fan hardcore du mec, alors que pas du tout !)

Ne t'inquiète pas : on te prend juste pour un obsédé

grolandais a écrit:

milbart a écrit:

(non mais on va croire que je suis un fan hardcore du mec, alors que pas du tout !)

Ne t'inquiète pas : on te prend juste pour un obsédé

J'espère que cela n'a pas de rapport avec les tétons percés.

milbart a écrit:

grolandais a écrit:

milbart a écrit:

(non mais on va croire que je suis un fan hardcore du mec, alors que pas du tout !)

Ne t'inquiète pas : on te prend juste pour un obsédé

J'espère que cela n'a pas de rapport avec les tétons percés.

J'apprécie la métonymie. Mais tu t'étais déjà grillé avec ton message précédent.

milbart a écrit:

Benjamin Button, pour encore faire plaisir à Popes', c'était quand même bien chiant. Je préfère largement le Fincher "ado attardé" qui montre sa teub...(quelle belle définition, après tout, Fincher, ce n'est qu'un ado attardé, et rien d'autre, pas vrai ? Comme ça, tout est tellement simple) (non mais on va croire que je suis un fan hardcore du mec, alors que pas du tout !)

C'est cool, tu fais les réponses et les questions.

Donc oui, il y a bien eu un virage, dont la sortie a été mal négociée.
Et oui, à plus de 50 ans et 25 ans de carrière le cinéma de Fincher n'a pas évolué d'un pouce, même qu'il régresse dangereusement.
Comment peut-on se fader de MILLENIUM après ZODIAC et THE SOCIAL NETWORK?

Au moins, son épate fonctionne. Le plus inquiétant, c'est l'attention qu'on peut lui porter, car le bonhomme, à part faire fonctionner la machine à pop corn ne fait guère avancer le Schmilblick. Pas plus que MCG, en tout cas.

PS: pardon d'être rentré dans le débat, parce que FICNHER, en fait, je m'en fous. Depuis Alien 3, je ressens son cinéma comme de la poudre aux yeux. Et cette sensation ne m'a jamais quittée.