Topic du "j'ai vu, j'ai aimé, je te le conseille !&quot

Un des meilleurs films d'aventure au monde, oui!
Un double Granger, un méchant Mason, c'est fougueux, drôle, jouissif. Suis un grand fan de ce film

popescu a écrit:

Un des meilleurs films d'aventure au monde, oui!
Un double Granger, un méchant Mason, c'est fougueux, drôle, jouissif. Suis un grand fan de ce film

Mon problème c'est que je viens de voir que dans la filmo de Thorpe, c'était coincé entre Ivanhoé et Les chevaliers de la table ronde, que je considère comme de sacrées daubes, donc ça me fait pas plus envie que ça (à moins que tu me confirmes que Le prisonnier de Zenda est l'exception qui confirme la règle).
En plus, j'ai un gros problème avec Stewart Granger : à part dans Sacaramouche, je lui ai toujours trouvé une tête à claques...

Et bien prive toi de celui-là.
Mais tu as tort. Je suis pas non plus un grand fan de Thorpe, mais, celui-là, j'adore. Et bon, qui a dit qu'il fallait un grand réalisateur pour pouvoir faire un grand film?
Après, Granger, j'aime beaucoup. Scaramouche, La dernière chasse, la croisée des destins, tout ça...

Bruttenholm a écrit:

1)Quels sont les autres Powell+Pressburger incontournables (j'ai vu A Canterbury Tale (bof) et Le Narcisse Noir (génial !)) ? Les Chaussons Rouges, dont on parle beaucoup en ce moment, c'est si bien que ça ?

Colonel Blimp est l'un des meilleurs Powell/Pressburger mais tu peux aussi te rabattre à l'aise sur Je sais où... (en noir et blanc mais c'est tout de même l'un de mes préférés, avec comme interprète masculin Roger Blimp Livesey qui excelle une fois de plus) ; Une Question de Vie et de Mort (la première partie surtout est absolument magique (la seconde est plus axée sur un message patriotique qui date un peu trop le film, hélas) ; Le Voleur de Bagdad (évidemment) ; Les Chaussons rouges et son fabuleux spectacle de danse, scène centrale du film, qui vaut à elle seule au moins un visionnage... Et Le Voyeur (au risque de répéter Popescu), sans Pressburger, sorte de Psycho coloré, mais qui diffuse une atmosphère diamétralement opposé au film d'Hitchcock tout en étant aussi dérangeant. J'adore, j'adore, j'adore. Du Powell, je peux en bouffer en tartine au petit déj' sans souci.

Bruttenholm a écrit:

popescu a écrit:

Un des meilleurs films d'aventure au monde, oui!
Un double Granger, un méchant Mason, c'est fougueux, drôle, jouissif. Suis un grand fan de ce film

Mon problème c'est que je viens de voir que dans la filmo de Thorpe, c'était coincé entre Ivanhoé et Les chevaliers de la table ronde, que je considère comme de sacrées daubes, donc ça me fait pas plus envie que ça (à moins que tu me confirmes que Le prisonnier de Zenda est l'exception qui confirme la règle).
En plus, j'ai un gros problème avec Stewart Granger : à part dans Sacaramouche, je lui ai toujours trouvé une tête à claques...

Ivanhoé et Les chevaliers de la Table ronde, là y'a du solide comme on dit chez moi. En plus d'être imbitables et ridicules, c'est un florilège d'anachronismes, surtout Ivahnoé, où pas un seul costume ne correspond à l'époque, les armes non plus.
Scaramouche...quel pied.

Vintage a écrit:

Ivanhoé et Les chevaliers de la Table ronde, là y'a du solide comme on dit chez moi. En plus d'être imbitables et ridicules, c'est un florilège d'anachronismes, surtout Ivahnoé, où pas un seul costume ne correspond à l'époque, les armes non plus.

En même temps, les anachronismes, je crois que c'est assumé... C'est un peu l'heroic fantasy cinématographique des années 50.
(mais ça reste quand même chiant et ridicule)

C'est bien d'assumer ses erreurs. Mais je ne crois pas du tout que les anachronismes soient voulus, d'après Tavernier, Thorpe avait la grande habitude de récupérer les fonds de tiroirs et des commodes.

Je reviens de chez Pôpa et Môman où j'ai pu me mater PARNASSUS sur la téloche plasma hyper grand écran.
Je suis sorti gavé et une nouvelle fois avec ce sale goût dans la bouche. Le film fait son petit bout de chemin en moi, je le reverrais encore avec plaisir dans quelques mois. J'ai trouvé les apparitions des multiples Tony encore plus jubilatoires, et le discours sur l'univers qui tient son équilibre d'imaginations en activité encore plus puissant et intéressant.

Un moment, j'ai regretté le manque de moyens de Gilliam, mais là, franchement, je me suis dit: on en prend plein la poire à quoi bon utiliser 100 millions de dollars supplémentaires.

Beaucoup apprécié LA FILLE COUPEE EN DEUX de Chabrol.
Magimel joue le bourge fils à papa comme personne. En fait, comme eux, il surjoue.
Entre l'écrivain pervers et le déquilibré, l'histoire de cette pauvresse en mal de reconnaissance est absolument réjouissante

Phantom of The Paradise, film terriblement intelligent...

Sur les apparences, l'image ("la défiguration est pire que la mort" = DePalma) (écrans de tv, son trafiqué, etc), sur Hollywood (le Paradise), réalisation magistrale (caméra à l'épaule, décomposition de l'écran (on appelle pas ca un split-screen ? merci) ), bo superbe, une réussite de bout en bout je pense...

We'll remember youuuuuuuu foreeeever Eeeedie...
Thru' the sacrifice you made...
We can't believe the price you paid...
Foooor LoOoOoOoOOOve....

The Thing de John "Big John" Carpenter. Rob Bottin est autant un génie qu'un sacré cinglé. Comment avoir l'idée de faire les choses ainsi ? Et de rendre un résultat si magistral à l'écran ? Une tension palpable et constante, une fin qui prouve le statut de marginal de Carpenter...

Fight Club le truc réconfortant, c'est que je sais, qu'au moins, je ne serais pas seul sur safe' à défendre ce film (papilio kiffe aussi), la première fois même en connaissant le twist ca a été un sacré choc. Je l'ai revu y'a pas longtemps avec deux potes, et même moment jouissif de spectacle cinématographique intelligent et vivace. J'adore tout, la réalisation, les acteurs, le personnage de Tyler, les dialogues, ce que le film dit sur la société de consommation, sur les valeurs, sur l'homme. No future.
J'aime bien l'idée de détruire ces satanées tours à thune, histoire de toute recommencer. "Vous n'êtes pas votre carte de crédit..."

Nausicaa. Un sacré chef d'oeuvre, ca oui ! J'admire la facon dont Miyazaki magnifie le mouvement. Sacré Cameron, même si j'adore ses films, l'univers de Nausicaa est dix mille fois plus vivant et fascinant que celui d'Avatar...

Sinon j'ai oublié de le dire, mais j'ai vécu Lost Highway et c'était un bonheur ! (maman avait raison !)

Je reviens de Mammuth. Les deux grolandais nous plongent dans leur road movie crade en deux temps trois mouvements. Depardieu, c'est vraiment Serge Pilardos.
Le scénario est le prétexte à de la poétique déconnade. C'est bien foutu; ça parle seulement d'un pov' gars d'aujourd'hui, loser sur les bords et au milieu; ça ne raconte pas grand chose, voir rien. On part en balade et ça fait du bien. Il y a quelques scènes absolument tordantes.
Bref, le gros Serge, il a quelque chose de Tennesse, une fêlure, une cassure, une vie de merde, sans vraiment avoir souffert.
C'est un peu un état des lieux.

Pour samedi, avec un vrai pote, j'hésite entre ca et Kick Ass...
Mais en fait on a déjà choisi...Kick Ass !
Enfin, ca ne m'empêchera pas de courir voir le film des Grolandais (en parlant de ca: dernier Siné Hebdo today... )

Vintage a écrit:

Je reviens de Mammuth. Les deux grolandais nous plongent dans leur road movie crade en deux temps trois mouvements. Depardieu, c'est vraiment Serge Pilardos.
Le scénario est le prétexte à de la poétique déconnade. C'est bien foutu; ça parle seulement d'un pov' gars d'aujourd'hui, loser sur les bords et au milieu; ça ne raconte pas grand chose, voir rien. On part en balade et ça fait du bien. Il y a quelques scènes absolument tordantes.
Bref, le gros Serge, il a quelque chose de Tennesse, une fêlure, une cassure, une vie de merde, sans vraiment avoir souffert.
C'est un peu un état des lieux.

En effet, c'est juste beau, tordant et revivifiant.

Hier j'ai vu un film archi bidonnant IN THE LOOP

Entre Londres et Washington, les gouvernements britannique et américain se livrent à de folles tractations dans la dernière ligne droite avant une possible invasion de l'Irak... Dans une interview, l'ambitieux mais maladroit Secrétaire d'Etat britannique au développement international, Simon Foster, commet une gaffe qui va provoquer un vent de panique dans les arcanes du pouvoir et des médias, des deux côtés de l'Atlantique, à l'approche d'un vote décisif à l'ONU...

Les personnages sont tous plus bêtes les uns que les autres, c'est enjoué et relevé.

Des infos sur le film

De la série au grand écran

In the Loop est l'adaptation d'une série de la BBC : The Thick of It, une vision comico-satirique de la politique anglo-saxonne au 21ème siècle. Cette série, également créée par Armando Iannucci, a débarqué sur la télévision britanique en 2005. Le succès a été immédiat et elle reçut moult récompenses. Une adaptation télévisée arriva sur les écrans américains dès la fin 2006. Un seul personnage et un seul acteur de la série se retrouve dans le film : Malcom Tucker, le directeur de la communication du Royaume-Uni joué par Peter Capaldi. "Je ne voulais pas que ce soit une extension de la série. Je voulais que ce soit complètement nouveau ; je voulais un nouveau départ avec un nouveau ministre, un nouveau lieu et que ça traite d'un autre pays..." explique le réalisateur. The Thick of It
Toute ressemblance avec des personnes réelles est fortuite... quoique...

Même si le film ne se réfère pas explicitement à des personnes existantes, on peut y discerner des figures emblématiques de la politique internationale. Ainsi, l'assurance et le vocable de Linton Barwick (David Rasche) n'est pas sans rappeler les personnalités de Donald Rumsfeld, le secrétaire à la défense des Etats-Unis de 2001 à 2006, et Dick Cheney, le vice-président pendant les deux mandats de G.W.Bush. Quant au pacifisme du général George Miller, joué par James Gandolfini, il fait écho à Colin Powell (le secrétaire d'Etat du premier mandat de Bush fils). Coté britannique, Armando Iannucci a caricaturé une figure politique très contreversée : l'ancien directeur de la communication et de la stratégie de Tony Blair de 1997 à 2003, Alastair Campbell. Cette caricature prend à l'écran les traits de Malcom Tucker, alias Peter Capaldi (personnage également présent dans la série d'origine). Le personnage de Simon Foster, le ministre pacifique interprété par Tom Hollander, est quant à lui inspiré de Clare Short, qui menaça de démissioner du gouvernement britannique si une guerre était déclarée à l'Irak ; avant de se raviser, jugeant plus "courageux" de rester. Elle démissiona finalement deux mois plus tard.
Quelle réception des politiques

In the Loop a été projeté devant de nombreux hommes politiques à Washington et en présence du réalisateur. Ce dernier décrit l'atmosphère : "Ca a beaucoup, beaucoup rigolé. Et puis à la fin, sur la guerre, c'est devenu plus silencieux et très émouvant. Des sénateurs venaient me dire : "Mais oui. C'est bien comme ça que ça s'est passé." Autre son de cloche au Royaume-Uni ! Alastair Campbell, directeur de la stratégie sous Tony Blair, n'a guère apprécié la pseudo discrète caricature de lui-même dans le costume de Malcom Tucker. Après avoir dénigrer le film en le décrivant comme "décevant, raté et ennuyeux, il a ajouté que In the Loop ne montrait qu'un visage grossier et vénal de la politique, un visage loin d'être celui qu'il avait lui-même rencontré lors de son passage au gouvernement. Coïncidence : Deux semaines plus tard éclatait le scandale des notes de frais colossales des députés britanniques...
Entre Amérique et Angleterre

Le challenge d'Armando Iannucci pour sa comédie anglaise a été de traduire certains gags dans la langue américain. L'humour et le phrasé y sont sensiblement différents. Pour cela, le réalisateur a misé sur son casting : "J'ai pris des gens qui savait improviser et qui venait de la comédie. Zach Woods, qui joue Chad vient d'une école d'impro de chicago, et Anna Chlumsky est juste à mourrir de rire. James Gandolfini aussi est hilarant". Ces acteur furent pour lui un atout dans la traduction de l'humour à l'anglaise. "Je leur disais : Regarde, tu dis ça comme tu as envie de le dire. Ils me répondaient : aux Etats-Unis, on dirait pas ceci, on dirait ça... Ce qui était amusant, c'était de voir comment les deux parties pouvaient se rassembler" déclare le réalisateur.
La sortie américaine

Le tournage de In the Loop s'est divisé entre Washington, New York et Londres. Mais le réalisateur Armando Iannucci refusa tout financement américain pour se garantir une totale indépendance quant au contenu de son film. Il est certain que les Américains n'apprécient guère que l'on critique leur engagement dans le conflit irakien. De ce fait, on pouvait s'attendre à un accueil mitigé outre-Atlantique. Bien au contraire... In the Loop fît un carton. D'abord projeté dans uniquement 8 salles, le film fut un triomphe. Les directeurs de cinéma durent refuser des spectateurs à chaque séance. Un raz-de-marée ! 3 semaines plus tard, le film était sur 84 écrans et avait déjà rapporté 1 255 000 dollars.
Un décor plus que réel

Plusieurs scènes du film se déroulent dans le bureau du Premier Ministre Britanique, connu comme le 10 Downing Street. Et bien, ces scènes ont véritablement été tournées au 10 Downing Street à Londres. Un privilège accordée à la production, notamment parce que le personnel voulait rencontrer les acteurs qui allaient interpréter leur rôle dans le film. "Ils ont dit oui car c'étaient des grands fans de la série explique Armando Iannucci avant d'ajouter, ils voulaient tous voir Peter Capaldi qui joue Malcom, et prendre une photo de groupe avec lui (...). Ce personnage incarnant l'enfer et la corruption de la politique était le bienvenu au coeur même du gouvernement" ironise-t-il.
Photos volées

En préparation du film, Armando Iannucci réussit à entrer dans les bâtiments du Département d'État Américain en agitant simplement une fausse carte de presse et en disant " BBC, je suis là pour le 12H30 ". Il a ainsi pu flâner dans les locaux et prendre quelques photos qui ont servi aux équipes de décoration.
Tendez l'oreille

Le réalisateur a lui-même enregistré la voix lors de l'annonce de la résolution onusienne.
A Sundance, ils tournent la page

In the Loop a fait partie de la sélection officielle du festival Sundance 2009. Il devient, dès lors, le chouchou de la presse. Selon Armando Iannucci, l'accueil fait à son film était assez révélateur : "ça les soulageait d'en rire, c'était thérapeutique. Ils pouvaient enfin jeter Bush par la fenêtre".
Préparation de James Gandolfini

Pour se préparer à son rôle de général pacifiste, il a invité à déjeuner une poignée de généraux et leur a demandé s'ils avaient déjà tué quelqu'un.

Le film a fait un carton outre-atlantique et il a connu une sortie archi-discrète ici, du style "noyé dans la masse". C'est un des très nombreux films qui me tentaient à sa sortie et c'est à peine si je l'ai vu passer dans les salles.

grolandais a écrit:

Le film a fait un carton outre-atlantique et il a connu une sortie archi-discrète ici, du style "noyé dans la masse". C'est un des très nombreux films qui me tentaient à sa sortie et c'est à peine si je l'ai vu passer dans les salles.

Idem, et j'ai vraiment passé un excellent moment!!!
ça m'a même remis la frite avant d'aller me coucher.

Vintage a écrit:

grolandais a écrit:

Le film a fait un carton outre-atlantique et il a connu une sortie archi-discrète ici, du style "noyé dans la masse". C'est un des très nombreux films qui me tentaient à sa sortie et c'est à peine si je l'ai vu passer dans les salles.

Idem, et j'ai vraiment passé un excellent moment!!!
ça m'a même remis la frite avant d'aller me coucher.

Haaa, alors c'est à voir. Je suis très friand de la frite avant le coucher.

Vu IRON MAN 2.
Prenons les mêmes (ou presque), recommençons (à peu près) et c'est du bon. Pas parfait, mais très divertissant, avec des répliques qui font mouche et pas de surenchères niveau action. Je suis assez client de cette version du super-héros au cinéma, sans crétinerie (comme les 4 fantastiques et consort) et sans prétention (comme les Batman de Nolan).

Viens de voir La Comtesse beaucoup aimé.

Julie Delpy réussit une vision assez originale du thème du

Spoiler:

. C'est bien reconstitué, intéressant et bien joué. Je pense que ça devrait plaire ici.

Sylvebarbe a écrit:

Viens de voir La Comtesse beaucoup aimé.

Julie Delpy réussit une vision assez originale du thème du

Spoiler:

. C'est bien reconstitué, intéressant et bien joué. Je pense que ça devrait plaire ici.

Quand une copie du film de Delpy passe, je la choppe...Très intéressé par le thème.

KICK

ASSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSS
!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

milbart a écrit:

KICK

ASSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSS
!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Je suis moi-même allée le voir deux fois : la première fois seule, la deuxième avec ma petite bande d'amis que j'ai bien finis par convaincre. Une très bonne comédie américaine a l'humour grinçant - sans compter que la BO est géniale !

Sans être un chef d'oeuvre, ca reste bougrement vitalisant et poilant, tout en étant amer et tonique. Un film rare, y'en a pas deux des comme ca quand même !!
ps: sinon, Alex' m'a appris que pour le Noé, a Nantes, c'était mort...monde de merde

milbart a écrit:

Sans être un chef d'œuvre, ça reste bougrement revitalisant et poilant, tout en étant amer et tonique. Un film rare, y'en a pas deux des comme ça quand même !!

Oui, il est pas mal. Je me suis bien amusé devant ce mixage d'Apatow, de Watchmen, de John Woo made in Hong Kong. Mais c'est tout ; pas transcendant non plus. Du côté du divertissement mainstream, ce genre de film est plutôt rare : c'est un petit OVNI. Mais je l'ai trouvé un peu long suite à une baisse de rythme, d'humour et une love story un peu gonflante. J'avoue que mon enthousiasme s'est un peu gâté à partir de la deuxième heure.